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Publié le: 17/06/2011

Un peu partout en Afrique, la privatisation du secteur de l’eau s’est systématiquement traduite par des hausses de tarifs sans que l’amélioration du service soit toujours à la hauteur.

Cette situation a souvent conduit à la révolte des usagers qui ne peuvent plus payer et se mobilisent pour obliger leur gouvernement à rompre les contrats. Or, même si a fait de l’accès à l’eau potable un droit humain fondamental, les multinationales sont restées dans leur logique : s’ouvrir de nouveaux marchés… aux frais des Etats, c'est-à-dire des populations !

Alterinfo/Africatime, 8 juin 2011.

 

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