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Publié le: 16/06/2011

La Chine, l’Inde et l’Arabie saoudite sont tous trois engagés dans une politique d’acquisition de vastes terres arables en Afrique subsaharienne à des prix très avantageux. En réalité, leur objectif principal est de cultiver des aliments en utilisant l’eau des pays africains qui n’ont pas les infrastructures pour l’exploiter, explique The New Scientist.

« Il est clair que l’enjeu n’est pas seulement les terres, mais l’eau », affirme Philip Woodhouse, de l’Université de Manchester.spanUn système qui s’avère bien, plus économique pour les pays acquéreurs. Ainsi, après avoir investi au Soudan pour cultiver du blé et du riz, l’Arabie saoudite a réduit la surface de production de blé sur son propre territoire.

Quant à la Chine et l’Inde, bien que bénéficiant d’un système d’irrigation développé, il leur revient trop cher de faire venir l’eau des régions les mieux dotées vers les autres : du coup, louer des terres devient une option tentante.

Lire l’article en intégralité, The New Scientist/Slate Afrique, 31 mai 2011

Nouvelle analogue :

La quête des terres agricoles en Afrique subsaharienne, Inter-Reseaux, 5 mars 2009.

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