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Publié le: 16/06/2011

L’association WWF vient de publier les résultats d’une enquête sur la qualité de l’eau de boisson, qu’il s’agisse d’eau du robinet ou d’eau en bouteille. Une démarche qu’elle légitime par la différence de réglementation sur les critères de qualité sanitaire de ces deux types d’eau de consommation.

Deux  campagnes de prélèvements ont été réalisées en 2009 et 2010 dans une cinquantaine de villes et communes rurales, ainsi que sur une quinzaine d’eaux embouteillées. Les analyses ont été effectuées par le laboratoire IPL-SED Lille, qui est agrée par le ministère de la Santé. 179 molécules à risque ont été recherchées.spanEn guise de conclusions, l’ONG évoque le “réel problème” lié à la « diversité et l’augmentation constante du nombre de molécules présentes dans les eaux de boisson ».

Elle rappelle également les risques sanitaires que posent l’exposition à de faibles doses de polluants sur le long terme, les effets cocktail et les perturbateurs endocriniens. « Ces questions ne peuvent plus être résolues uniquement par une fuite en avant, vers un traitement de plus en plus contraignant et coûteux », conclut-elle, appelant à améliorer rapidement la protection des sources d’eau potable en amont, et plus généralement des ressources en eaux brutes.

Lire l’article en intégralité, Hydroplus, 23 mai 2011.

[Consulter le communiqué de WWF ]ou [l'intégralité du rapport]

Nouvelle analoguie : France : l’eau du robinet, un produit sous haute surveillance, Sources Nouvelles, 15 avril 2011.

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