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Publié le: 05/04/2011

Jean-Marie Nibirantije, ministre de l’eau, de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme de la République du Burundi, a procédé à Bujumbura à la signature de l’Accord-cadre sur la Coopération dans le bassin du Fleuve Nil. Le Burundi devient ainsi le sixième pays signataire de cet accord-cadre sur la coopération dans le Bassin du Fleuve Nil.

Les autres pays – Rwanda, Kenya, Ethiopie, Ouganda et Tanzanie – l‘ont déjà signé. Cet acte officiel ouvre la porte au processus parlementaire de ratification du traité qui prévoit l’adhésion d’au moins six pays pour qu’il puisse entrer en vigueur. Trois pays concernés s’y refusent pour le moment, à savoir la République Démocratique du Congo, le Soudan et l’Egypte.

L’Egypte et le Soudan ont boycotté l’an dernier la cérémonie de signature du nouveau traité auquel ils s’opposent, car ils estiment que de tels projets en amont réduiraient considérablement le débit du fleuve sur leur propre territoire. L’organisation de l’Initiative du Bassin du Nil avait prévu pour janvier un sommet extraordinaire de conciliation qui n’a finalement pu se tenir en raison des événements politiques survenus au Caire et de la destitution du président Moubarak.

Source : Information officielle du Burundi et agences,

Lire l’article en intégralité, Aqueduc info, 28 février 2011
Nouvelle analogue : Echec des négociations sur le partage des eaux du Nil, Sources Nouvelles, May 2010

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