Skip to main content

Publié le: 05/04/2011

Le Moyen-Orient est susceptible de plonger dans une grave crise humanitaire due à la raréfaction des ressources en eau, à moins que des mesures correctives ne soient apportées de toute urgence, selon un nouveau rapport [1].

Le Groupe de prospective stratégique a préparé le rapport, “La Paix Bleue”, avec l’appui de l’Agence suisse pour le développement et la coopération (ASDC) et l’Agence suédoise de développement international (ASDI) et la contribution de près de 100 dirigeants et experts en provenance d’Israël, des Territoires palestiniens, de la Jordanie, du Liban, de la Syrie, de l’Irak et de la Turquie.

Le rapport évalue les principaux défis liés à la gestion transfrontalière des ressources. A  l’heure actuelle, facteur de division et de tension, l’eau a le potentiel de devenir un instrument de paix et de coopération. C’est ce qui ressort comme thèse centrale du rapport. Par la suite, il compile une liste de dix recommandations, fixées à court, moyen et long terme, qui visent à aboutir à des solutions pragmatiques.

Le budget total du rapport sur la Paix bleue était de 650 000 francs suisses (702 000 dollars US, soit 503 064  euros).
Le jeudi 10 février 2011, le président de la Confédération suisse, Micheline Calmy-Rey a présenté le rapport final au Club suisse de la presse à Genève.

[1] Waslekar, S. (2010). Paix bleue : repenser l’eau au Moyen-Orient. Mumbai, Inde. Groupe de prospective stratégique. xxii, 149 p. : figures, tableaux. ISBN 978-81-88262-14-4. Télécharger le rapport intégral [format PDF, 3.1 Mo]. Télécharger les faits marquants.

Site web analogue : SDC – Gestion de l’eau et promotion de la paix au Moyen Orient)
Source : PR Newswire, 10 février 2011 ; SDC, 10 février 2011

Back to
the top