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Publié le: 26/08/2011

Un séminaire international organisé par  l'Observatoire du Sahara et du Sahel, en collaboration avec le PNUD sur « les mécanismes et les stratégies à mettre en œuvre pour faire du droit à l'eau une réalité », visait à débattre de la possibilité de créer un mécanisme de régulation universel en matière d'eau pour en garantir l'accès à toutes les populations. Il s'agit aussi d'examiner les dispositions d'une gouvernance multi-partenaires Sud/Nord de ce mécanisme dont le centre nodal sont les collectivités territoriales.

Se référant à des études scientifiques, Salem Hamdi, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Agriculture et de l'Environnement chargé de l'Environnement estime que « la qualité de l'eau disponible par tête d'habitant, déjà faible, sera réduite de moitié d'ici 2050, notamment dans la plupart des pays en développement ». Les chiffres sont à cet égard sans appel : actuellement, 80 pays où vivent 40% de la population mondiale connaissent une pénurie d'eau ! Pis encore, un milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau potable alors que 1,7 milliard ne sont même pas pourvus d'infrastructures d’assainissement.

Il est urgent de mettre en place des mécanismes de gestion et d'arbitrage plus performants, souligne le secrétaire d'État à l'Environnement qui propose aussi des compromis plus viables entre la satisfaction de la demande, d'une part, et la préservation du milieu naturel et la conservation des ressources naturelles, d'autre part.

Lire l’article en intégralité,Tunisie Focus.com, 29 juin 2011.

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