Le ministre de commerce et de l’industrie, Rob Davies a officiellement inauguré une nouvelle usine du groupe Unilever, respectant les normes écologiques et environnementales. La nouvelle industrie viserait à réduire ses émissions de dioxyde de carbone de fabrication et de …
Publié le: 13/12/2011
Le ministre de commerce et de l’industrie, Rob Davies a officiellement inauguré une nouvelle usine du groupe Unilever, respectant les normes écologiques et environnementales. La nouvelle industrie viserait à réduire ses émissions de dioxyde de carbone de fabrication et de logistique au niveau mondial de plus de 40% en 2020.
La réduction du carbone est obtenue en utilisant efficacement l’éclairage de l’industrie. La gestion de l’eau est également judicieuse. En effet l’usine utilise l’eau de pluie qu’elle canalise dans un réservoir de 1,5 millions de litres. L’application de nouvelles technologies de l’eau permet la récupération de 70% de toute l’eau utilisée dans les phases de production. Cette nouvelle usine, qui a couté près de 80 millions de dollars, devrait produire les denrées alimentaires comme les épices. La nouvelle usine est la deuxième plus grande industrie Unilever sur 250 succursales. Elle fait 22 000 mètres carrés équivalent à 3 fois un terrain de football. Elle a été conçue pour produire 65 000 tonnes de produit par an et a une capacité d’extension de 100 000 tonnes. Cette succursale constitue un coup de pouce à l’économie nationale en raison de sa capacité de production. En plus ce projet, cadre parfaitement avec les objectifs et les priorités de la politique industrielle de l’Afrique du sud. Les placements d’Unilever confirment que l’Afrique du sud reste la destination privilégiée pour les investissements internationaux.
En dépit du faible ralentissement du secteur manufacturier, l’Afrique du sud continue à mener le continent noir en entretenant un climat d’investissement favorable. Le groupe Unilever a constitué une partie essentielle de la politique industrielle du pays. Elle devrait jouer un rôle en s’assurant que l’Afrique du sud devienne un milieu encore plus globalement concurrentiel grâce à une efficacité énergétique.
Source: afrique7.com, 13 décembre 2011